Résistance à la fatigue musculaire

La fatigue musculaire est un
phénomène complexe résultant d'une combinaison de déficiences à travers
le système neuromusculaire humaine . La définition de la fatigue musculaire a été modifié au fil des ans que la recherche a fait naître une meilleure compréhension des éléments qui contribuent à la fatigue.

Traditionnellement, la fatigue musculaire a été définie comme le muscle de
l'incapacité à maintenir une force attendue . Dans le passé
décennie, Barry et Enoka ont écrit qu'il correspond à un exercice-induite
baisse de la capacité du muscle à générer de la force ou de la puissance, quel que soit
ou non la tâche peut être poursuivie. Selon cette description,
la fatigue musculaire commence lentement après l'apparition d'une activité soutenue, même si
un individu peut poursuivre l'exécution d'une tâche musculaire.

De nombreuses études ont montré que les femmes ont une plus grande résistance
à la fatigue que les hommes et, par conséquent, les femmes sont en mesure de maintenir en continu et
des contractions musculaires intermittentes à faible intensité modérée plus que les hommes
. Cette tendance a été observée dans une variété de
muscles en utilisant les protocoles de formation assortis, mais les physiologiques
des mécanismes pour les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas complètement
compris. Les différences de masse musculaire, intensité de l'exercice, de l'utilisation des
denrées alimentaires au cours du métabolisme (réactions qui produisent l'ATP) et neuromusculaires
activation ont été proposés comme facteurs contribuant à la fatigue des
différences entre les sexes .

 

Masse musculaire et intensité de l'exercice

​

En général, les hommes peuvent générer une plus grande
force musculaire absolue lors de l'exécution du rapport même (pour cent du maximum de
contraction volontaire) la charge de travail des femmes au cours d'une contraction musculaire . Plusieurs chercheurs ont suggéré que cette
force supérieure musculaire absolue au cours de la même charge de travail relatif entraîne
des pressions intramusculaires, en comprimant les vaisseaux sanguins qui alimentent les muscles
et l'approvisionnement en oxygène légèrement inhiber les muscles qui travaillent . Pour retarder la fatigue dans
les muscles qui travaillent, l'oxygène est nécessaire au cours de contractions soutenues pour permettre
la poursuite de l'oxydation phosphorylation (métabolisme aérobie). La constriction des vaisseaux sanguins retarde également la suppression des sous-produits métaboliques (dioxyde de carbone,
des ions d'hydrogène, le lactate) du muscle, contribuant ainsi à la fatigabilité.

Les chercheurs ont montré que les femmes sont capables de plus d'endurance
fois que les hommes lors de l'exécution à faible intensité modérée isométrique
des contractions dans plusieurs groupes musculaires, y compris l'adducteur du pouce, coudes
fléchisseurs, fléchisseurs et extenseurs des doigts extrinsèques du genou .
Comme l'intensité de la contraction augmente au-dessus des niveaux modérés, la
différence entre les sexes dans fatigabilité est moins observable. Ainsi, l' intensité de
l'exercice est un facteur majeur de discernement dans les différences résistance à la fatigue
observée entre les femmes et les Coach sportif domicile Paris.

D'autres chercheurs ont également montré des différences dans la durée à
la fatigue entre les hommes et les femmes quand ils sont appariés pour
la contraction volontaire maximale du site muscle cible. Lorsque vous testez les coudes
muscles fléchisseurs, Hunter et al. (2004) ont montré que les femmes avaient plus de temps pour un
échec de la tâche lors de contractions musculaires intermittents submaximales que leurs
forces appariés homologues masculins. Ces résultats sont cohérents avec Fulco et
al. (1999) pour les contractions intermittentes de l'adducteur du pouce
effectué par la force appariés mâles et les femelles. Ces auteurs ont montré que
les femmes avaient plus de temps pour échec de la tâche à 50% de la contraction volontaire maximale
du muscle adducteur du pouce. Notez que les différences dans le temps à la fatigue
entre les hommes et les femmes sont les plus apparentes dans submaximales (non maximales)
des contractions.